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• Remède anti-peau sèche aux Huiles Essentielles
• Solutions anti-peau grasse aux Huiles Essentielles
• Combattre la cellulite avec les Huiles Essentielles
• Réduire les vergetures grâce aux Huiles Essentielles
• Rééquilibrer le cheveux gras avec les Huiles Essentielles

• Effacer les cicatrices grâce aux Huiles Essentielles
• Traiter le psoriasis avec les Huiles Essentielles
• En finir avec la mycose de l'ongle avec les Huiles Essentielles
• Se débarasser des verrues avec les Huiles Essentielles
• Soulager l'arthrose avec les Huiles Essentielles
• Combattre les vertiges avec les Huiles Essentielles

La polyarthrite rhumatoïde est la plus répandue des rhumatismes inflammatoires chroniques qui sont regroupés sous l’appellation « arthrites chroniques ». Ce trouble frappe environ 0,5 % de la population, quatre fois plus les femmes que les hommes. Il apparaît le plus souvent à l’âge de 35 à 55 ans. Mais parfois les enfants peuvent aussi en souffrir.

Cette pathologie chronique fait partie des maladies auto-immunes qui touchent les articulations, telles que les mains, les poignets et les genoux. Parfois d’autres zones du corps peuvent également être atteintes.

Son évolution est imprévisible. À défaut de traitement ou d’un diagnostic précoce, elle risque de provoquer l’apparition des maladies graves.

Découvrons ensemble la synergie aux huiles essentielles dédiée à ce problème, les différentes formes, les symptômes, les causes,… et la petite histoire.

Olyaris vous dit tout !

LE MÉLANGE

Pour soulager la polyarthrite rhumatoïde, prenez votre flacon vide, et ajoutez :

0 gouttes d’huile essentielle de Gaulthérie odorante

0 gouttes d’huile essentielle d’Eucalyptus citronné

0 gouttes d’huile essentielle de Lavandin super

0 gouttes (6 mL) de Macérât huileux d’Arnica

Bouchez (clic !), homogénéisez puis étiquetez votre flacon. Votre synergie est prête !

MODE D’UTILISATION

Masser avec 4 gouttes du mélange les articulations douloureuses pendant 1 minute.

Renouvelez l’opération 3 fois par jour pendant une semaine.

UTILISATEURS AUTORISÉS

Pour les adultes et les enfants de plus de 6 ans

Interdit aux femmes enceintes et allaitantes

PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES

• Les personnes qui souffrent d’épilepsie doivent consulter au préalable avant d’employer la synergie.
• Elle présente également un risque lacrymogène ou tussigène pour les personnes sensibles.
• La synergie est fortement déconseillée pour les individus suivant un traitement anticoagulant, ayant de l’eczéma, de l’asthme, un ulcère, une hémorragie, ou étant allergique aux salicylés (aspirine).
• Les personnes ayant à subir une intervention chirurgicale ne doivent pas non plus utiliser ce mélange.

Avant d’utiliser, il est recommandé de faire un test allergique (mettez quelques gouttes du mélange sur les creux du coude, attendez 24 heures, si aucune réaction, vous pouvez l’employer sans problème).

Ces précautions s’appliquent dans les conditions d’application et de dosage citées ci-dessus. En cas de doute, posez votre question sur notre forum et consultez votre médecin.

La gaulthérie odorante est composée de molécules anti-inflammatoires puissantes. Elles agissent au niveau des médiateurs comme les cytokines, responsables du processus inflammatoire. 

Cette huile essentielle renforce l’action anti-inflammatoire de la gaulthérie odorante. En outre, elle intervient aussi au niveau des leucocytes qui sont responsables des gonflements.

Le lavandin super possède des propriétés calmantes et sédatives. Les principes actifs agissent localement pour réduire la douleur au niveau des articulations.

L’huile végétale d’arnica complète le pouvoir anti-inflammatoire du mélange. Ces molécules actives agissent en complémentarité avec les principes actifs des huiles essentielles.

En se basant sur son aspect clinique, la polyarthrite rhumatoïde peut être classée en deux catégories :

• Polyarthrite rhumatoïde débutante : celle-ci est la forme initiale de la maladie. Ses symptômes discrets sont moins invalidants. Les douleurs touchent généralement les poignets et les articulations métacarpophalangiennes avant-pieds. Cette maladie inflammatoire est difficile à diagnostiquer, car vous devrez effectuer plusieurs examens. Mais elle présente l’avantage d’être facile à traiter.
• Polyarthrite en phase d’état ou phase déformante : cette dernière est la forme grave de la pathologie. Elle entraîne effectivement une destruction articulaire, notamment des poignets, des mains, des pieds, etc. Cette altération est invalidante, surtout chez les patients.

Lorsque cette maladie touche les personnes adultes d’environ 40 ans, on parle de polyarthrite rhumatoïde. En revanche, si elle frappe les enfants avant l’âge de 16 ans, elle est dénommée « arthrite chronique juvénile ». Ce rhumatisme est relativement rare. Malgré cette faiblesse, il entraîne des douleurs similaires à la polyarthrite rhumatoïde.

Tout d’abord, il faut savoir que les articulations sont recouvertes d’une membrane synoviale qui fabrique du liquide. Ce lubrifiant sert à les nourrir et à les protéger. Malheureusement, à cause d’une réaction auto-immune (l’attaque des auto-anticorps, produite par le système immunitaire), la membrane synoviale commence à s’épaissir, voire à se déformer. Pour faire face à cette agression, elle fabrique du liquide synovial à forte quantité qui est aussi composé d’enzymes inflammatoires anormales. Ce lubrifiant singulier agresse ensuite les cartilages, les tendons, les ligaments, les muscles puis l’os. Cette attaque conduit progressivement à la destruction des articulations, d’où l’apparition de la polyarthrite rhumatoïde.

L’origine exacte de la polyarthrite rhumatoïde reste encore inconnue. Néanmoins, la présence de signes biologiques d’autoréactivité la place dans les catégories des maladies auto-immunes. Les médecins découvrent par contre plusieurs facteurs qui favorisent son apparition, tels que :

• Les dérèglements hormonaux : la maladie apparaît le plus souvent après la ménopause, ce qui explique pourquoi elle touche 4 fois plus les femmes que les hommes
• La génétique : la présence des gènes de prédisposition (notamment HLA-DR1 ou HLA-DR4) est responsable de l’apparition de la pathologie.
• Les environnements : le tabac et la pollution de l’air constituent des facteurs aggravants de ce rhumatisme. Ils provoquent également sa sévérité, parce que la majorité des patients qui s’y exposent ne répondent pas facilement au traitement.
• Les infections : la présence de certaines bactéries et virus peut contribuer à la survenance de la polyarthrite rhumatoïde.

Les problèmes psychologiques : cette maladie inflammatoire apparaît dans 20 à 30 % des cas, après un choc émotionnel. Pour connaître en profondeur cet état, on vous invite à découvrir notre dossier sur le choc émotionnel.

Si la polyarthrite rhumatoïde se manifeste généralement par des douleurs articulaires, elle présente également des signes extra-articulaires.

Les manifestations articulaires de la polyarthrite rhumatoïde

Durant sa première année d’évolution, cette pathologie est difficile à diagnostiquer. Heureusement que l’« American College of Rheumatology » détermine 4 critères qui permettent de l’identifier rapidement :

• Inflammations des poignets qui touchent 90 % des cas. Cette sensation de brûlure apparaît depuis au moins 1 mois et demi.
• Raideur matinale d’une articulation qui dure 1 heure depuis 1 mois et demi.
• Arthrites qui touchent environ 3 groupes articulaires depuis 6 semaines
• Inflammations des mains qui se caractérisent par la déviation cubitale des doigts
• Présence des nodules rhumatoïdes
• Signes radiologiques aux mains
• Présence du facteur rhumatoïde dans le sang

Les manifestations extra-articulaires

Les signes extra-articulaires apparaissent le plus souvent chez les personnes atteintes d’une polyarthrite rhumatoïde de forme sévère.

• Manifestations pleuropulmonaires : ces dernières se traduisent par une fibrose et des pleurésies. Certains problèmes pulmonaires sont des effets secondaires du traitement, comme la bronchiolite, ou la pneumopathie.
• Troubles cardiovasculaires : la polyarthrite rhumatoïde est considérée comme un facteur de risque des maladies cardiovasculaires dont la péricardite est la plus fréquente.
• Ostéoporose : cette pathologie qui frappe l’os peut être le signe d’une polyarthrite rhumatoïde. Elle se manifeste par des fractures qui causent des douleurs insupportables.
• Vascularite : cette maladie inflammatoire touche les vaisseaux de l’organisme. Sa survenance est le résultat d’une polyarthrite à un stade avancé. Elle se manifeste par l’apparition des ulcères sur la peau et par les multinévrites des nerfs.
• Syndrome sec oculaire : ce problème se manifeste par une sensation de sable dans les yeux et par une incapacité à secréter des larmes.
• Nodules rhumatoïdes : ce problème dermatologique se caractérise par l’apparition d’une boule sous la peau. Cette déformation se trouve principalement sur les doigts et les faces d’extension des membres, comme les coudes ou les avant-bras.
• Canal carpien : ce trouble entraîne des fourmillements dans les 3 premiers doigts de la main. Il survient à cause d’une compression du nerf médian caractérisé par une inflammation du poignet.

La polyarthrite rhumatoïde est une pathologie hétérogène dont la complication varie d’une personne à une autre. Son évolution peut donc prendre différentes formes :

• La forme bénigne qui correspond environ 25 % des cas. Dans ce cas, la maladie n’altère pas votre qualité de vie. Au bout de quelques années, elle peut même disparaître spontanément.
• La phase sévère qui représente environ 20 % des cas. Cette fois-ci, la polyarthrite provoque la destruction des articulations. Elle est à l’origine des symptômes extra-articulaires, comme la vascularite, la péricardite qui peut engager le pronostic vital.
• La forme intermédiaire qui est la plus fréquente, parce qu’elle touche environ 50 % des cas. Dans ce cas, l’évolution de la maladie se fait de manière progressive. Elle commence par des poussées inflammatoires après lesquelles s’installe une petite pause. La recrudescence provoque ensuite des douleurs articulaires qui finalement entraînent des déformations.

Les huiles essentielles permettent de soulager rapidement les symptômes. Néanmoins, il existe d’autres solutions naturelles en complément que vous pouvez adopter :

• Ortie piquante : cette plante possède des propriétés anti-inflammatoires qui permettent de soulager vos articulations douloureuses. Pour l’application, étalez ses feuilles sur les parties concernées pendant une dizaine de minutes, avant de les enlever délicatement. À faire autant de fois que vous le souhaitez. Sinon, elle peut aussi être prise sous forme de gélules. Cette fois-ci, reportez-vous aux conseils de votre pharmacien.
• Piment de cayenne : grâce à son composant actif, la capsaïcine, ce piment, vous procurez une sensation de chaleur. Il favorise dans ce cas la souplesse de vos articulations, tout en atténuant les douleurs. Quant à l’application, déposez une lotion ou une crème à base de cette plante sur les parties douloureuses, 4 fois par jour pendant 2 semaines.
• Chaleur : celle-ci améliore l’état des personnes souffrant de la polyarthrite rhumatoïde. Elle consiste à appliquer une compresse chaude sur les articulations douloureuses pendant une dizaine de minutes. À réaliser deux fois par jour pendant 4 semaines.
• Probiotiques : ces micro-organismes équilibrent la flore intestinale. Pourtant, nous savons que le déséquilibre influe sur l’apparition des maladies auto-immunes, comme la polyarthrite rhumatoïde. Les bonnes bactéries sont donc nécessaires pour rétablir cet ordre dans l’intestin. Elles peuvent être prises sous forme de compléments alimentaires. Mais avant la prise, consultez d’abord votre médecin.

La polyarthrite rhumatoïde est une pathologie invalidante, surtout si les symptômes sont graves. Alors pour mieux vivre la maladie, adoptez les gestes suivants :

• Prendre du repos autant que possible durant les crises pour éviter d’accentuer les douleurs et les symptômes
• Aménager la maison en installant des équipements qui facilitent les actes de la vie quotidienne.
• Effectuer une activité professionnelle moins pénible pour les articulations, et pour la maladie 
• Utiliser des équipements ou des appareils adéquats, comme un peigne à manche longue, un stylo à fort diamètre, et.
• Adopter un bon rituel de sommeil en vous habituant à coucher à une heure fixe, à établir un environnement propice (chambre agréable, lumière faible…). L’insomnie accentue les poussées.
• Privilégier l’aromathérapie pour soulager les douleurs causées par les inflammations des articulations.

La polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire qui peut s’aggraver. Évitez dans ce cas la complication en vous interdisant les gestes suivants :

• Consommation des produits raffinés, des plats riches en matières grasses (acides gras trans), des boissons trop sucrées qui accentuent les inflammations
• Effectuer des activités physiques qui agressent les articulations, comme le port de charges lourdes, la course, etc.
• Dévisser les bouchons des bouteilles avec vos mains, sans vous faire aider par vos proches. Cette habitude agresse les articulations.
• Prendre des antalgiques ou des antidouleurs, sans solliciter l’avis de votre médecin

La pratique d’une activité physique améliore la polyarthrite rhumatoïde, à condition de choisir les meilleurs exercices, comme :

• Stretching : cet exercice d’étirement apporte de la souplesse et de l’élasticité aux muscules et aux tendons. En plus, il améliore également votre mobilité. Vous pouvez donc le pratiquer en cas de polyarthrite rhumatoïde. Le stretching est, d’ailleurs constitué de plusieurs positions à réaliser deux fois par semaine si possible.
• Pilâtes : cette activité rassemble plusieurs mouvements qui renforcent les muscles profonds. Elle favorise votre mobilité, afin que vous puissiez vous déplacer sans vous faire blesser. Elle travaille également les genoux, le dos et les pieds. Alors, n’hésitez pas à la pratiquer deux fois par semaine.
• Sophrologie : cet exercice de respiration vous aide à gérer les douleurs et la fatigue occasionnée par la maladie. Vous allez progressivement mieux vous préparer à surmonter les situations désagréables. D’ailleurs, la sophrologie peut être pratiquée à la maison ou dans une salle de sport.
• Tai-Chi-Chuan: cette pratique peut améliorer votre mobilité, notamment des membres inférieurs (chevilles, pieds…). Elle apaise également les douleurs dans vos articulations. Vous pouvez dans ce cas l’alterner avec les Pilates ou la sophrologie chaque semaine.

La composition de votre assiette influe sur votre maladie. Limitez dans ce cas les inflammations en consommant davantage de :

• Oméga 3 : cette famille d’acides gras aide à diminuer les inflammations causées par la polyarthrite rhumatoïde. Elle se retrouve dans les huiles végétales (huile de colza, huile de bourrache, huile de lin, huile de chanvre…), dans les poissons gras (sardine, thon, maquereau, truite, etc.), et les noix (amandes, noisettes, etc.).
• Thé vert : cette boisson diminue le gonflement de vos articulations en raison de sa composition. Effectivement, elle contient de Galate d’épigallocatéchine (EGCG) qui agit directement sur les parties douloureuses. Alors, buvez 1 à 2 tasses par jour afin d’aider à venir à bout de votre maladie.
• Vitamine E : ce nutriment est connu pour vous protéger contre le phénomène de l’oxydation. Certes, ce pouvoir antioxydant n’impacte pas directement sur l’inflammation occasionnée par la maladie, mais il atténue les conséquences. Dans ce cas, consommez davantage de noix (amandes, noisette, etc.), légumes (brocoli, épinard, chou,), fruits (avocat, kiwi ..).
• Légumineuse : ces derniers constituent d’excellentes alternatives à la viande. Une ration de 200 g est similaire à 85 g de viande. Ils vous apportent dans ce cas votre apport journalier en protéines. Alors, n’hésitez pas à consommer 5 repas à base de légumineuse toutes les semaines.
• Fruits et légumes : ces aliments sont riches en antioxydants, afin de vous prévenir des effets de l’oxydation. Ils renforcent dans ce cas votre système immunitaire. Dégustez en moyenne 5 portions de fruits et légumes tous les jours en variant les espèces. À long terme, vous allez contacter les bénéfices.

Comme la polyarthrite rhumatoïde fait partie des maladies auto-immunes, son apparition est difficile à prévenir. Toutefois, vous pouvez éviter les douleurs occasionnées ou rendre efficace le traitement, en adoptant les mesures suivantes :

• Diagnostiquer rapidement (malgré l’absence de symptômes graves) la maladie si vous avez des antécédents familiaux (parent, frère ou sœur, enfant) souffrant de polyarthrite rhumatoïde.
• Effectuer des exercices d’assouplissement et d’étirement afin d’aider votre corps à faire face aux crises
• Perdre du poids, si vous êtes en surpoids, afin d’économiser vos articulations
• Consommer des aliments qui limitent les inflammations, comme les fruits (pomme, raisin…), le thé. À compléter si possible avec la consommation d’oméga 3.
• Solliciter l’aide de vos proches, si bouger, se déplacer ou se relever d’un siège devient de plus en plus pénible.
• Éviter d’agresser vos articulations en soulevant les objets avec les avant-bras, à utiliser toutes les mains
• Changer progressivement de position, afin d’éviter de raidir vos articulations, notamment en regardant la télévision, en se couchant, etc.

La polyarthrite rhumatoïde est une maladie récente en Europe. Ce n’est pas le cas en Amérique. Les Américains souffrent déjà de cette pathologie inflammatoire depuis plus de 6 000 ans. Les chercheurs découvrent récemment des restes osseux contenant des traces de la maladie le long du Mississippi.

Malheureusement, la polyarthrite ne tarde pas à arriver en Europe. À cause des échanges à travers l’Atlantique, les hommes transmettent facilement la maladie d’un pays à l’autre (transfert des gènes). Actuellement, aucun État n’est épargné.

Heureusement, cette forme de rhumatisme reste relativement rare, car elle ne touche que 1 % de la population générale, bien que les femmes soient les plus touchées. Les personnes ayant des antécédents familiaux constituent également des personnes à risques.

La polyarthrite rhumatoïde suscite l’intérêt des pouvoirs publics, car elle augmente l’invalidité. Par conséquent, la moitié des malades sont obligés de quitter leur activité professionnelle. Néanmoins, l’évolution de la science pourrait nous surprendre.

Récemment, les chercheurs néerlandais et suédois essaient de limiter l’action des cellules immunitaires à l’origine de la maladie chez plusieurs patients. Apparemment, le résultat retarde de 1 an l’apparition des symptômes.  

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