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Les répulsifs anti-moustiques sont des huiles essentielles dont les  composés naturels aromatiques ont la propriété d’éloigner ces nuisibles, très utile en saison estivale. En application cutanée, elles préviennent les piqûres qui peuvent être responsables de transmission de certaines maladies ou autres irritations désagréables.

Dans ce dossier spécial, vous allez découvrir pourquoi les moustiques sont attirés par nos petites chairs, quelle est la synergie d'huile à appliquer que la peau, quels sont les maladies véhiculées par ces insectes...
Olyaris vous dit tout !

Pour éloigner les moustiques, mélangez dans votre flacon vide les huiles essentielles suivantes :

• 5 ml d’huile essentielle de Citronnelle 
• 5 ml d’huile essentielle d'Eucalyptus Citronné
• 5 ml d’huile essentielle de Géranium
• 5 ml  d’huile essentielle de Lavande

Votre synergie est prête pour utilisation !

MODE D’UTILISATION

• En diffusion :
  • Placez 4 à 5 gouttes et diffusez 30 minutes par heure.
  • Placez également 5 gouttes de cette synergie dans des coupelles à différents endroits de la pièce pour repousser les nuisibles.

• En application cutanée:
  
  • Placez 3 gouttes de la synergie dans une cuillère à soupe d'huile végétale de votre choix et massez-vous la peau
  • Vous êtes en extérieur jour et nuit ? Effectuez l'application en massage matin, midi et soir.
    
    

Public concerné :

• Ne convient pas aux femmes enceintes ou allaitantes 
• Ne convient pas aux moins de 6 ans 

Cas particuliers : 

• Un avis médical est requis pour les asthmatiques et épileptiques avant toute utilisation. A proscrire également pour les personnes allergiques aux aspirines, en cas d’eczéma, d’ulcère, d’hernie, d’hémorragie  ou ayant subi une opération, de cancer hormono-dépendant actuel ou passé, de trouble hormonal, de mastose, fibrome ou phlébite. Ne pas dépasser les doses prescrites.

Dispositions spécifiques: 

• Attention, il est conseillé aux personnes allergiques de réaliser un test sur le creux du coude et d'attendre 48h. S’il n’y a aucune réaction, vous pouvez utiliser la composition en toute sérénité.
• Demandez un avis médical en cas de prise d'autres traitements en parallèle
• Les propriétés, les indications et les modes d'utilisation indiqués sont tirés d'ouvrages de référence et confirmés en aromathérapie, hydrothérapie et phytothérapie.
• Ces informations sont données à titre informatif et non médical. En aucun cas Olyaris ne se substitue aux diagnostics de votre thérapeute et ne pourrait se tenir responsable de toute automédication. Pour tout usage thérapeutique, consultez votre médecin ou thérapeute.

L’huile essentielle de Citronnelle est un puissant répulsif naturel. Elle constitue dans ce cas une excellente alternative à l’usage des soins conventionnels. Contenant des substances actives odorantes, elle est capable de prévenir l’arrivée des moustiques à toute période de l'année.

Cette huile est connue pour son fort pouvoir répulsif. Cela s’explique par sa composition en citronellal (Env. 70%) et par son odeur citronnée mal-aimée de ces nuisibles. 

Si l’huile essentielle de Géranium fait partie de cette synergie, c’est parce qu’elle possède des vertus insectifuges très reconnues. En effet, elle contient des substances actives pouvant prévenir les piqures de moustique. En plus, associée avec les autres huiles essentielles, elle dégagera une odeur fruitée et fleurie. Grâce à ce parfum prononcé, aucun moustique n’osera vous approcher.

L’huile essentielle de Lavande se démarque par son parfum répulsif. Effectivement, grâce à son odeur très puissante, les moustiques, fourmis et autres mouches s'éloigneront de cette source olfactive si désagréable à leurs narines. En plus grâce à ses composants naturels particuliers, son action est durable.

Les piqures de moustiques proviennent essentiellement des femelles. On dénombre différentes formes de piqures en fonction de l’espèce responsable :

• La piqure par le moustique Culex : celle-ci est provoquée par une espèce de moustique adulte dont les veines sont enveloppées d’écailles brunes. C'est la plus fréquente, elle attaque essentiellement la nuit lorsque la fenêtre est ouverte. Elle ne présente normalement aucun danger mortel et les réactions provoquées disparaissent en général au bout de trois jours. Néanmoins, elle est parfois responsable de l’encéphalite japonaise B.
• La piqure par le moustique Aedes appelé également moustique tigre : elle survient en journée, essentiellement au lever du soleil. Elle entraine généralement des démangeaisons, des nausées et des vomissements. Elle est responsable de la transmission de plusieurs maladies dangereuses, comme le virus Zika, le Chikungunya ou encore la Dengue.
• La piqure par le moustique anophèle : celle-ci est notamment connue pour son rôle de transmetteur du paludisme chez l’homme. Elle est donc très dangereuse, voire mortelle. Le moustique responsable pique le plus souvent la nuit, sans provoquer véritablement de douleurs au moment de la piqure.

Pourquoi le moustique pique-t-il ?

Ce sont les femelles moustiques appelées « anautogènes » qui sont les principales responsables des piqures. Effectivement, à la différence des mâles qui s’alimentent uniquement de nectar de fleur, elles se nourrissent de sang des vertébrés (les oiseaux et les mammifères), avec une nette préférence pour celui de l’homme. Si le sang humain les attire autant, c’est parce qu’il contient des protéines qui sont nécessaires pour nourrir leurs œufs. Contrairement à ce que l’on pense, elles n’ont pas besoin de piquer plusieurs fois pendant la nuit pour couvrir leurs besoins nutritionnels, une seule piqure est amplement suffisante. En général, elles procèdent à ce cycle de reproduction deux fois par semaine pendant l’été, d’où leur facheuse prolifération à cette période ! A l'abri !

Comment le moustique pique-t-il au début ?

La piqure de moustique est similaire à celle d’une intraveineuse appliquée surl’homme. Grâce à sa trompe, l’insecte est capable de percer les couches profondes de l’épiderme pour ensuite arriver jusqu’au vaisseau. Mais, avant d’aspirer, la petite bête injecte tout d’abord sa salive. Celle-ci lui permet ainsi de fluidifier le sang humain qui est trop épais pour faire passer sa trompe. Une fois le sang fluidifié par sa salive, le moustique entame son prélèvement. En règle générale, il boit environ 7 mm3 de sang pour pouvoir subvenir à ses besoins. Cette salive est également responsable des réactions inflammatoires de la peau et de la transmission des différents virus.

Quelle est la réaction de l’organisme face à la piqûre de moustique ?

En général, l’organisme se défend immédiatement lorsque l’insecte injecte sa salive dans le sang humain. Considérée comme une substance étrangère, la salive va être détruite par les cellules du système immunitaire. Il s’agit des fameux mastocytes, des globules blancs qui sont capables d’identifier les corps étrangers présents dans l’organisme humain et de libérer des histamines. Ce sont ces dernières qui sont ensuite responsables des réactions inflammatoires de la peau (les démangeaisons, les rougeurs et les irritations). Pour renforcer la protection de l’organisme, elles élargissent aussi les vaisseaux sanguins atour de la piqure, d’où l’apparition de petit bouton que l’on aperçoit sur la surface de la peau.

Plusieurs facteurs sont à prendre en compte si l’on veut comprendre les causes exactes de la piqûre de moustique :

• l’odeur du corps humain : il s’agit principalement des sueurs. Les personnes qui ont tendance à transpirer facilement seront plus susceptibles d’être piquées par les moustiques que les autres. C’est également le cas des consommateurs de bière qui attirent les anophèles responsables du paludisme.
• le CO2 : le dioxyde de carbone que l’on dégage à travers l’expiration attire les moustiques. Ils sont même capables de le repérer à 10 mètres de distance. C’est la raison pour laquelle, les personnes actives et les femmes enceintes (dégageant plus de 20 % de dioxyde de carbone) se font plus piquer que les autres.
• la température corporelle : les moustiques sont principalement attirés par la chaleur du corps humain qui se situe idéalement entre 36 à 37 degrés. Au-dessus de cette température, ils ne pourront pas injecter leur trompe.
• l’obscurité : même si la majorité des moustiques sont aveugles, ils ne sont pas attirés par la lumière. Bien au contraire, la plupart des espèces connues piquent souvent pendant la nuit, lorsque le soleil se couche.
• la génétique : une récente étude anglaise avait prouvé l’attirance des moustiques tigres sur les vrais jumeaux.
• le groupe sanguin : des recherches scientifiques japonaises ont déduit que les moustiques tigres sont plus susceptibles de percer la peau des personnes appartenant à un groupe sanguin O.

Même si les moustiques semblent être inoffensifs, il est conseillé de s’en éloigner afin d’éviter certains risques, tels que :

• le paludisme : il s’agit généralement d’une maladie tuant plusieurs milliers de personnes dans le monde. Il est transmis par la piqure de l’anophèle femelle qui fait partie des espèces de moustiques les plus connues. Ainsi, pour éviter d’en attraper, il est conseillé de ne pas se rendre dans les pays tropicaux ou intertropicaux, notamment en Afrique subsaharienne ou en Asie du Sud-Est sans avoir pris les mesures de précautions nécessaires.
• la dengue : cette maladie est provoquée par la piqure d’une espèce de moustique appelée Aedes. Pour l'éviter, il est fortement recommandé de s’éloigner des eaux stagnantes à proximité des habitations, comme les décharges, les sanitaires inutilisés, les flaques d’eau, etc. Tout simplement parce que la plupart des moustiques s’y trouvent regroupés, prêts à attaquer.
• la fièvre du Nil : elle est notamment due à la piqure d’une espèce de moustique appelé Culex. Elle fait partie des maladies les plus répandues, tous les continents du monde étant concernés. Ces piqûres ont le plus souvent lieu dans des endroits les plus chauds, en fin d'été et au début de l’automne.
• la fièvre jaune : cette maladie est provoquée par la piqûre d’un moustique du genre Aedes. Pour éviter de la contracter, il est toujours préférable de se faire vacciner avant de voyager dans les pays à risque, notamment en Afrique et en Amérique du Sud.
• la contamination des eaux : pour pouvoir se reproduire, les moustiques déposent leurs œufs dans les zones humides, comme les eaux stagnantes. Ainsi, il est indispensable de s’en éloigner, surtout si l’on vit à proximité des décharges, des sanitaires à l'abandon, des plans d'eau stagnante, etc.
• l’infection aux aliments : il faut savoir que tous les moustiques adultes (mâles et femelles) sont des nectarivores. Effectivement, ils se nourrissent avant tout des nectars, substances riches en sucre présentes dans les fleurs, voire les fruits. C’est la raison pour laquelle, on retrouve généralement des moustiques à proximité de ces fruits, surtout lorsqu’ils sont très murs. C'est en les consommant que l'homme peut être touché et à son tour infecté.

Si certaines piqures de moustique disparaissent au bout de quelques jours, d’autres peuvent se compliquer et causer de graves troubles, comme :

• l’allergie : celle-ci survient chez certaines personnes qui ne supportent pas la salive injectée par le moustique dans leur organisme. C’est la raison pour laquelle, les démangeaisons et les inflammations peuvent durer jusqu’à plusieurs semaines. Parfois même, l’allergie provoque l’apparition de plaques rouges peu esthétiques à la surface de la peau si elle n’est pas traitée à temps.
• le paludisme : ce dernier figure parmi les maladies qui tuent des milliers de personnes dans le monde. Il entraine généralement des nausées, des vomissements, des sueurs, des frissons, voire des convulsions. S'il n’est pas traité à temps, il peut être mortel.
• la Dengue : Elle entraine le plus souvent une forte fièvre, des maux de tête, des vomissements, des douleurs articulaires et des éruptions cutanées. À défaut de traitement, elle peut causer la mort.
• Chikungunya : celle maladie cause des douleurs sévères au niveau des articulations et des muscles. Elle peut également entrainer des céphalées, des nausées, voire des vomissements.
• la fièvre jaune : il s’agit d’une maladie endémique qui provoque une forte fièvre, une grande fatigue et des maux de tête.

En alternative à l’usage des répulsifs conventionnels, sachez qu’il existe des solutions naturelles auxquelles on peut recourir. C’est le cas de :

• les clous de girofle : cette solution naturelle est un répulsif assez puissant. Pour profiter de ses bienfaits, il est conseillé d’infuser environ 30 clous de girofle. La solution sert ensuite de lotion à appliquer sur les parties du corps visées par la piqure de moustique.
• le ventilateur : il s’agit d’un acte de prévention qui consiste à placer le ventilateur près de soi avant de dormir. En effet, les insectes ne supportent pas les bruits émis et l’air projeté par cet appareil.
• la camomille : celle-ci constitue un excellent remède pour éviter de se faire piquer par les moustiques. Pour bénéficier de ses vertus, il est recommandé d’infuser ses fleurs et d’appliquer ensuite la solution obtenue sur les jambes, les bras, le cou et sur le visage.
• le vinaigre de cidre : ce dernier constitue un excellent remède anti-moustique grâce à sa composition. En effet, il contient de l’acide acétique qui possède des propriétés antiseptiques afin de soulager les piqures.
• le bicarbonate de soude : comme le vinaigre de cidre, il est utilisé afin de soulager les rougeurs et les démangeaisons provoquées par la piqure de moustique. Pour ce faire, mélangez 3 cuillères dans 100 ml d’eau et d’appliquer ensuite la solution sur les zones à traiter.

Même si cela parait incroyable, il est tout à fait possible de prévenir la prolifération des moustiques en adoptant les bons gestes, tels que :

• Appliquer la synergie d’huile essentielle sur la peau afin de dissuader les moustiques de s’attaquer à la surface de la peau
• allumer des bougies à base de plantes naturelles qui dégagent des parfums prononcés, comme la citronnelle, le basilic, etc.
• déposer des plantes possédant des propriétés répulsives à l’intérieur de la maison, surtout près de la fenêtre, de la porte et du balcon
• s’éloigner des sources d’eau stagnante, car les insectes vivent généralement dans ces types d’endroits
• changer régulièrement l’eau de la vase afin d’éviter la prolifération des moustiques sur les lieux
• avoir une bonne hygiène corporelle, car les moustiques sont attirés par l’odeur de notre corps, surtout en cas de transpiration. En cas de transpiration excessive, lisez sans plus tarder notre dossier spécial !
• utiliser un diffuseur anti-moustique à base de substances naturelles dans la pièce à vivre pendant la journée
• Enfin, logique, chère Monique, optez pour une moustiquaire à apposer aux fenêtres !

Certaines mauvaises habitudes peuvent contribuer à développer la prolifération des moustiques et leurs piqûres. Il s’agit par exemple de :

• se rendre dans les lieux humides et chauds sans avoir appliqué une crème ou un soin répulsif sur la peau
• penser que les moustiques sont attirés par le sucre
• ne pas se laver après avoir effectué des exercices physiques intenses ayant entraîné une transpiration importante
• utiliser des répulsifs inadaptés contenant des substances allergènes pour la peau
• vivre dans un environnement insalubre en oubliant par exemple de vider la poubelle, de nettoyer la gouttière, de changer les gamelles des animaux domestiques, etc.
• négliger les mesures de précautions nécessaires avant de partir dans un pays étranger dont les risques de piqure sont très élevés (vaccins, médicament, sensibilisation pré-voyage)
• se parfumer en pensant que les cosmétiques contribuent à repousser les moustiques. Si nécessaire, il vaut mieux utiliser des soins à base d’huile de coco
• laisser les plats, les fruits ou les légumes en cuisine sans les recouvrir.

Même si cela semble incroyable, l’alimentation contribue à repousser les moustiques. Pour cela, il est conseillé de favoriser une alimentation riche en :

• aliments contenant de la vitamine C : ce nutriment est essentiel afin de renforcer la défense immunitaire de l’organisme. On le retrouve généralement dans plusieurs fruits et légumes, tels que les fraises, les agrumes, les poivrons, les goyaves, les abricots, et bien d’autres encore.
• ail : celui-ci est connu depuis des siècles pour ses vertus insecticides. Effectivement, en consommant de l’ail cru, les moustiques n’oseront plus s’attaquer à l’organisme, car ils ne supportent par l’odeur dégagée par ce condiment.
• herbes aromatiques : ces dernières possèdent des propriétés répulsives grâce à leur odeur prononcée. Elles sont d’ailleurs nombreuses à détenir ces vertus répulsives. C’est le cas du basilic, du romarin, ou encore de la menthe fraiche.
• aliments riches en vitamine B : ce nutriment est indispensable pour éviter la piqure de moustique. Tout simplement parce que ce dernier n’apprécie pas vraiment le sang qui en contient. On le retrouve généralement dans les légumes verts (épinard, asperge, haricot vert, etc.), les abats, les viandes, etc.

Même si les moustiques sont attirés par l’odeur corporelle provoquée par la transpiration, cela ne signifie pas pour autant que le sport est déconseillé. Bien au contraire, s’exercer est essentiel afin de renforcer son système immunitaire. Mais pour repousser les moustiques, il est préférable de pratiquer :

• le yoga : celui-ci est une discipline sportive bénéfique pour le corps et pour l’esprit. En plus, il peut se pratiquer chez soi. Cela signifie que l’on n’est pas contraint de l’exercer à l’extérieur, c’est-à-dire dans les endroits où vivent les moustiques
• la natation : il s’agit d’une activité physique qui sollicite les muscles du corps, sans pour autant être trop fatigante. Elle est idéale pour booster le système immunitaire afin que ce dernier soit apte à combattre les agents étrangers, comme la salive d’un moustique
• la gymnastique douce : cet exercice est intéressant dans la mesure où il ne favorise pas la transpiration, qui notons-le attire les moustiques. En plus, il est aussi possible de la pratiquer en salle et non à l’extérieur.

Pour éviter la piqure de moustique, il est important de prendre quelques mesures de précautions, comme :

• porter des tenues couvrant les bras, les jambes, le cou afin d’éviter l’attaque des moustiques, surtout pendant la nuit
• utiliser une moustiquaire imprégnée de répulsif, surtout si l’on a l’intention de visiter les endroits tropicaux, humides et chauds
• bien nettoyer ses vêtements avant de partir à l’étranger a fortiori dans des pays tropicaux.
• se faire vacciner contre le paludisme ou contre la fièvre jaune avant de voyager dans les États où ces maladies sont légion
• mettre un bracelet anti-moustique DEET et/ou de l’IR3535 qui est notamment efficace pour éloigner les moustiques présents dans les zones tempérées.
• Éliminer les sources d’eau stagnante à proximité de l’habitat comme les ordures, les flaques d’eau stagnantes...
• couvrir la piscine d’une bâche si l’on n’a pas l’intention de l’utiliser
• fermer la porte et les fenêtres avant que le soleil ne se couche, surtout pendant la période estivale
• éviter ou limiter les sorties pendant la nuit, car c’est à ce moment que les moustiques sont les plus actifs
• s’éloigner des moustiques qui se développent principalement dans les zones humides et chaudes. Et si l’on a l’intention de voyager en Afrique, en Asie du Sud, aux Caraïbes, en Australie et en Amérique latine, il est recommandé de prendre des mesures de précaution nécessaires avant de faire le voyage.

Les moustiques connus également sous le nom de Culicidés, ou encore maringouins font partie des agents pathologiques les plus redoutables au monde. Ils ne se contentent non seulement de percer l’épiderme de l’homme avec leur trompe, mais ils injectent également des virus et des microbes contaminant ainsi le sange. Actuellement, on recense plus de 3 000 espèces de moustiques qui se répartissent en 12 genres. Rassurez-vous, ils ne sont pas tous sanguinaires, ce sont ceux appartenant au genre culex et au genre anophèle qui sont les plus dangereuses.

C’est en 1897 qu’un médecin anglais Ronald Rass a prouvé que l’anophèle femelle est l’agent responsable du paludisme ou de la malaria. Et malgré les mesures prises pour l’éradication de cette maladie, elle tue encore près de 660 000 de personnes dans le monde (selon l’Organisation Mondiale de la Santé) par an. Les personnes les plus touchées sont surtout les enfants moins de 5 ans et les femmes enceintes. Ce n’est pas tout, les moustiques sont aussi responsables de la mort d’environ 52 000 personnes atteintes de la fièvre jaune et de 22 000 personnes frappées par la Dengue.

Il faut rappeler que même si les moustiques sévissent principalement dans les pays tropicaux, il est toujours conseillé de prendre des précautions en raison du réchauffement climatique et du développement des échanges internationaux. Mêmes s'il existe différentes espèces de moustiques, ils ont pour point commun leur ressemblance morphologique frappante ! En effet, ils se caractérisent par leur silhouette fine, leurs ailes minces et leurs pattes à l'aspect délicat. À vos tapettes !

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