L’alcoolodépendance est une addiction à part entière. Elle touche environ 6 personnes sur 100 en France, soit 1,5 million de Français. Être alcoolique e se résume pas qu'à boire de l'alcool de manière occasionnelle. La dépendance s’installe peu à peu chez les personnes dites « à risque ».

L’alcoolisme est la dépendance à l’alcool, le sujet dans ce cas commence à boire de manière ponctuelle et de manière excessive. Avec le temps, il n’arrive plus à contrôler sa consommation jusqu’à ce que celle-ci devienne nocive pour lui. 

Dans ce dossier complet sur l’addiction à l'alcool, vous découvrirez la synergie aux huiles essentielles pour vous aider à sortir de ces états de dépendance, le mécanisme et fonctionnement biologique de cette addiction, les complications éventuelles, les réflexes naturels à adopter, les pièges à éviter et l’alimentation à privilégier.   

Olyaris vous dit tout !

Pour soulager les états nerveux liés au manque lors d'une alcoolo-dépendance, incorporez les huiles essentielles suivantes dans la fiole incluse dans votre pack :

• 5 ml d’huile essentielle de Laurier noble
• 5 ml d’huile essentielle de Romarin à Verbénone
• 5 ml d’huile essentielle de Petit Grain Bigarade
• 2,5 ml d’huile essentielle d’Angélique

Votre synergie est prête pour application via votre fiole ou le roll-on inclus dans votre pack !

Important : Cette synergie est une proposition dont l'objectif est de diminuer les états nerveux liés au syndrome de manque. Un accompagnement psychologique apportera une approche complète pour mener à bien votre démarche.

Comment ça marche ? 

• Déposer 2 gouttes de la synergie au milieu du front en doux massage
• Déposer également 2 gouttes de la synergie sur chaque poignet une fois par jour, à respirer à chaque fois jusqu’à ce que l'envie se dissipe.
• Si l'envie est très forte, respirer directement depuis le flacon
• Répétez les inspirations autant de fois dans la journée que nécessaire

Public concerné :

• Ne convient pas aux femmes enceintes et allaitantes.
• Inadapté aux enfants de moins de 6 ans
• Peu recommandé aux personnes asthmatiques.

Dispositions spécifiques :

Attention, il est conseillé aux personnes allergiques de réaliser un test sur le creux du coude et d’attendre 48 h. S’il n’y a aucune réaction, vous pouvez utiliser la composition en toute sérénité.

Demandez un avis médical en cas de prise d’autres traitements en parallèle.

Les propriétés, les indications et les modes d’utilisation indiqués sont tirés d’ouvrages de référence et confirmés en aromathérapie, hydrothérapie et phytothérapie.

Ces informations sont données à titre informatif et non médical. En aucun cas Olyaris ne se substitue aux diagnostics de votre thérapeute et ne pourrait se tenir responsable de toute automédication. Pour tout usage thérapeutique, consultez votre médecin ou thérapeute.

On ne saurait passer à côté de la puissante huile essentielle de Laurier Noble en matière d’addiction. Ses composés uniques équilibrent et harmonisent le corps. Ces molécules actives boostent la volonté. Cette huile offre un bon appui à ceux qui veulent se libérer de la dépendance à l'alcool. Elle améliore la concentration, lutte contre le manque de lucidité et favorise la confiance en soi.

On connaît l’huile essentielle de Petit Grain Bigarade pour ses vertus apaisantes et relaxantes. Elle renforce le contrôle de soi. Elle calme les sautes d’humeur, le stress ou encore la nervosité. Ses principes actifs, que l’on qualifie de parasympathicotoniques, agissent sur le système nerveux et renforcent la résistance à la tentation. En d’autres mots, elle régule le bon fonctionnement de la partie sympathique de l’appareil neurovégétatif. Les états nerveux liés au manque (palpitations cardiaques, anxiété, stress, déprime) sont alors mieux tolérés et atténués.

L’une des corrolaires les plus violentes lors de la dépendance à l'alcool est la dégradation des fonctions hépatiques. Sa composition en alpha-pinène et camphène entre autres lui confèrent des propriétés hépato-protectrices et de drainage hépato-biliaire, plus que bienvenues lors du sevrage, période de réhabilitation des fonctions vitales.

On confère à l’huile essentielle d’Angélique des propriétés particulièrement efficaces contre les comportement addictifs. Ses principes actifs possèdent une action anxiolytique et agissent donc sur la nervosité. Ils chassent l’angoisse durant toute la période de lutte contre le sevrage. En d’autres termes, elle aide à ne pas succomber de nouveau à la tentation et à mieux garder le contrôle de soi.

Conséquence d’une consommation régulière d’alcool

Il est évident que la dépendance à l’alcool vient de sa consommation répétée. Or, elle est considérée comme psychoactive. L'alcool altère les capacités psychiques de la personne qui en boit. Cela va naturellement impacter son comportement.

À faible qualité (moins de 0,5 g/L de sang), l’alcool reste un bon stimulant nerveux. Il améliore la productivité et la faculté cognitive. Mais il y a tout de même une plus grande marge d’erreur dans l’exécution des tâches.

En plus grande quantité (plus de 0,5 g/L de sang), il devient un sédatif impactant négativement la motricité du corps. Le consommateur n’arrive plus à coordonner ses mouvements et perd son sens de l'équilibre.

Perturbation du fonctionnement des NMDA (N-methyl-D-Aspartic acid)

Les NMDA (N-methyl-D-Aspartic acid) sont des récepteurs chargés de transmettre les ordres du cerveau au corps pour que celui-ci s’exécute. Or, l’éthanol contenu dans l’alcool nuit au fonctionnement de ces derniers. Ces NDMA se relient à des synapses (zone d’échange d’information entre deux neurones) ⁠. En cas d’altération, cela va donc provoquer des problèmes de mémorisation et de comportement.

L’accoutumance psychologique et physiologique

Ainsi, la dépendance à l’alcool provient de l’adaptation progressive du système nerveux à une nouvelle situation ou habitude. Cela entraîne l’activation de ce que l’on appelle « l'accoutumance ». Le cerveau va percevoir l’alcool comme une récompense. Il s’agit d’un processus métabolique qui pousse à augmenter les doses de la substance active. L’alcoolique va percevoir - de manière illusoire - l’alcool comme une sorte de béquille qui lui permet d’avancer et d’affronter les difficultés de la vie. Il ne peut donc plus s’en passer.

On ne sait pas encore exactement pourquoi une personne devient alcoolique. Il y a un plus grand risque de tomber dans cette assuétude chez : 

• Les personnes buvant de l’alcool dès le très jeune âge. Étant adultes, elles ont tendance à boire de plus grandes quantités et de manière plus répétée
• Les hommes :  Il semble que la gent masculine compte plus de dépendants à l'alcool que le sexe opposé
• Les fumeurs ou toxicomanes 
• Les personnes avec un manque de confiance en elles
• Celles qui ont un ascendant (parent) alcoolique

Voici comment on reconnaît une personne dépendante à l’alcool :

• Elle boit avec excès (la quantité dépend de chaque individu) et augmente au fil du temps sa dose moyenne
• Elle n’arrive pas à s'en priver ou éprouve des difficultés à se contrôler à la vue de l’alcool
• Elle a constamment envie de boire
• Sa vie ou son niveau de vie se dégrade : conflit avec les proches, isolation, manque de productivité, perte d’estime…
• Si elle parvient à arrêter sa consommation, elle subit alors les conséquences du manque : sueurs, tremblements, frustrations, anxiétés…

L’alcool a des effets toxiques sur bon nombre d’organes vitaux. L’alcoolisme peut vite aboutir à des complications comme :

• Le cancer : Il semble que l’alcoolodépendance soit un facteur de développement de cancer notamment au niveau de l’appareil digestif (estomac, foie...)

• La fibrose, le diabète, les insuffisances rénales, les varices œsophagiennes ou la pancréatite : qui finit par détruire toutes les cellules de l’organe, les rendant totalement inutiles

• L’AVC : car l’alcool dans le sang augmente la pression sanguine, ce qui peut aboutir à une hypertension puis un AVC

• La dépression : conséquence de la perte d’estime de soi

• La perte de mémoire : l’éthanol détruit certaines zones du cerveau, ce qui altère les facultés mentales. La destruction des cellules du cerveau entraîne des troubles comme la maladie de Parkinson

• Les problèmes relationnels avec l’entourage : allant de la simple dispute à l'altercation

• La paralysie faciale : nombre de personnes dépendantes ont du mal à bouger leurs muscles faciaux le matin

Il est souvent assez difficile de se sortir d’une dépendance, notamment à l’alcool. La synergie aux huiles essentielles a été spécialement conçue pour traiter les états de stress et de manque qui en découlent. D'autres réflexes naturels peuvent venir en complément, tour d'horizon :

• Le kudzu : Certains parlent de remède naturel miracle contre l’alcoolodépendance. D’ailleurs, ce nom vient du chinois « Kuzu » qui signifie littéralement « dissipateur d’ivresse ». On en consomme plus précisément la racine. L’extrait de cette dernière contient de la daidzine qui inhibe l’envie d’alcool. D’autant plus qu’il calme le stress et l’angoisse. Infusion à prendre par quantité de 5 g de racines jusqu'à dissipation de l'envie.

• Le Desmodium : Il est recommandé pour détoxifier le foie de l’alcool. Il possède des propriétés hépatoprotectrices. En infuser 10 g dans un litre d’eau pendant un quart d’heure et en boire une tasse par jour jusqu’à consommation complète. Ce remède aide grandement à sortir de la dépendance. 

• Le pissenlit : ou plutôt les fleurs de pissenlit sont comestibles. On en consomme une (ou 10 g) quand l’envie d’alcool monte. Cette plante agit comme un draineur hépatobiliaire.

• La Valériane : celle-ci est un sédatif naturel. Elle a aussi une action myorelaxante et détend donc les muscles. Il est préférable d’en mâcher au moins une poignée une fois par semaine pendant le sevrage.

Évidemment, il est tout à fait possible de lutter contre l’alcoolodépendance avec de bonnes habitudes :

• Le sevrage : Il reste incontournable. Cela consiste à se priver de manière progressive d'alcool. Ici, tout est une question de volonté. Cependant, comme pour le régime, difficile de se maintenir dans le sevrage. L’enjeu étant d’éviter toute rechute. Néanmoins, mieux vaut ne pas culpabiliser si cela arrive. L’échec doit booster la volonté et motiver à aller plus loin la prochaine fois.

• L’inscription auprès d’un groupe d’alcooliques anonymes : Le partage aide la personne à mieux se prendre en main. Dans un groupe constitué de gens ayant le même problème, la motivation grandit et le jugement n'a pas sa place.

• Les huiles essentielles contribuent efficacement à cette lutte. Elles assurent un résultat progressif et en douceur.

Quand on veut se débarrasser de cette addiction, mieux vaut donc éviter :

• D’arrêter sa consommation de manière brusque : cela ne fera qu’augmenter l’envie par la suite et aggravera le problème. 

• Tenter de s’en sortir tout seul. Mieux vaut trouver de l’aide avant que les choses ne prennent une mauvaise tournure.

• De mélanger plusieurs types d'alcool : qui crée une toute nouvelle dépendance.

Dans ce combat contre l’asservissement, le corps et le cerveau ont besoin de nutriments et de fortifiants. Une alimentation contrôlée aide à mieux traverser le combat. On privilégiera donc les aliments riches :

• En Omega 3 : Cet acide aminé est bon pour le fonctionnement optimal du cerveau et des muscles. Il restaure l’équilibre émotionnel et métabolique. On en trouve dans le poisson à viande rouge comme le saumon.

• En L-Glutamine : Viande, poissons, œufs en contiennent en quantité. Cet acide aminé protège les cellules des dégradations dues à la consommation d’alcool. Elle aide aussi à repousser l’envie de boire.

• À cela, on rajoute le fait de boire suffisamment d’eau par jour. Cette habitude aide les reins à évacuer l’alcool contenu dans le sang tout en aboutissant à un état de satiété !

Le sport va de paire avec le combat contre l’alcoolodépendance. Mais on doit faire attention de ne pas boire avant de pratiquer une activité physique. En effet, l’alcool limite la production d’une hormone antidiurétique que l’on appelle la vasopressine. Or, celle-ci régule le travail des reins. Cette carence de vasopressine oblige les reins à produire plus d’urine et épuise tout le stock d’eau du corps. Le sport aide le corps à évacuer l’alcool en outre. Toute activité physique est donc recommandée à condition de rester sobre, bien évidemment !

Mieux vaut prévenir que guérir. Certaines bonnes pratiques réduisent les chances de frôler l'alcoolodépendance:

• Limiter sa consommation d’alcool (un ou deux verres par semaine).
• Suivre les recommandations de l’institut national du cancer
• Éviter de boire à jeun ou avant les repas
• Boire le moins rapidement possible
• Éviter de prendre des médicaments avec de l’alcool
• Ne pas se laisser influencer par un entourage trop alcoolo-enthousiaste

Certaines idées reçues sur l’alcool :

• On ne se réchauffe pas en buvant de l’alcool. La sensation de chaleur vient de la vasodilatation qui s’estompe assez vite
• L’alcool déshydrate contrairement à ce que l’on pense
• La capacité à lutter contre l’alcoolodépendance n’est pas la même pour tout le monde. Chacun a son propre métabolisme et ses propres facilités
• Mettre de l’eau dans l’alcool le rend juste plus supportable pour la gorge.  Les effets sur le corps restent les mêmes
• La consommation de soda et d'alcool en même temps ralentit l'élimination de calorie dans le corps, ce qui accélère la prise de poids

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Olyaris propose une gamme complète d'huiles essentielles 100%  pures et naturelles, comme l’Huile essentielle de lavande vraie, l’Huile essentielle d’origan, l’Huile essentielle d’ylang-ylang, l’Huile essentielle de romarin, l’Huile essentielle d’orange, l’Huile essentielle de cyprès, l’Huile essentielle de thym, l’Huile essentielle de tea tree, l’Huile essentielle de menthe poivrée ou encore l’Huile essentielle de citron. Toutes nos Huiles Essentielles sont HEBBD (Botaniquement et Biochimiquement Définies) et garantissent l’efficacité de chacune de leur propriétés respectives.
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