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Une huile essentielle aphrodisiaque est une huile dont les composants aident les personnes à retrouver un désir sexuel dit normal. On peut les utiliser notamment comme huile de massage afin d’augmenter l’appétit sexuel.
Le manque d’intérêt sexuel est un sujet qui demeure encore tabou, mais préoccupant, que ce soit chez l’homme ou chez la femme. Les huiles essentielles constituent une solution simple à envisager pour faire face à une baisse de la libido (troubles hormonaux, cas de fatigue, problème de circulation sanguine, ménopause).
Dans ce dossier complet, vous découvrirez ce que recouvre exactement le terme de « libido » et les dégâts psychologiques et physiologiques à l’origine de la perte du désir sexuel. C’est également l’opportunité de vous spécifier en détail les huiles essentielles aux vertus aphrodisiaques les plus reconnues depuis l’Antiquité.
Olyaris vous dit tout !
L’atout nature : l’huile essentielle de sauge sclarée rééquilibre les hormones
L’atout nature : l’huile essentielle d’écorce de cannelle pour stimuler l’envie sexuelle.
L’atout nature : l’huile essentielle de petit grain bigarade réduit l'angoisse.
L’atout nature : l’huile essentielle d’ylang-ylang complète pour rééquilibrer l'état émotionnel.
L’atout nature : l’huile essentielle de sauge sclarée contre les bouffées.
L’atout nature : l’huile essentielle de lentisque Pistachier pour désenfler.
L’atout nature : l’huile essentielle de marjolaine à coquilles qui calme l’anxiété
L’atout nature : l’huile essentielle de menthe poivrée contre les céphalées.
L’atout nature : l’huile essentielle de palmarosa antifongique.
L’atout nature : l’huile essentielle de Clou de Girofle antiparasitaire et antifongique.
Les huiles essentielles ne conviennent pas aux nourrissons en raison de leur composition. Effectivement, elles contiennent de principes actifs puissants qui ne sont pas digérés par l’organisme d’un bébé. Son foie n’arrive pas à produire assez de protéines pour les absorber convenablement, d’où l’intérêt de les proscrire. Cette interdiction est normalement levée lorsque l’enfant a atteint l’âge de 3 ou de 6 ans en fonction des huiles essentielles.
L’application cutanée n’est pas non plus une solution, car la peau de bébé est aussi très sensible à différents produits. Ainsi, les molécules présentes dans les huiles essentielles risquent dans ce cas d’entraîner des problèmes cutanés, telles que l’irritation, l’inflammation, la brûlure et le surdosage.
Même si les huiles essentielles soulagent divers maux, elles ne conviennent pas pour autant à tout le monde. Par exemple, les femmes enceintes sont invitées à ne pas les utiliser. La raison est simple : l’organisme d’une femme pendant cette période est fragile, l’utérus est en train de s’agrandir pour accueillir le bébé. Ainsi, pour éviter les éventuelles complications, il vaut mieux éviter les soins contenant des molécules puissantes. C’est aussi le cas des huiles essentielles qui contiennent des substances hormon-like qui ont le désavantage de déséquilibrer la production d’hormones et par conséquent de provoquer un accouchement prématuré.
Toutefois, toutes les huiles essentielles ne sont pas concernées, parce qu’une frange d’entre elles peut être employée dès le second trimestre de grossesse. Il s’agit par exemple de l’huile essentielle de Palmarosa, de l’huile de bois de rose ou encore de l’huile essentielle d’eucalyptus radié. Mais, pour une raison de sécurité, il est préférable d’opter pour l’application cutanée sur des zones bien précises. Le but est d’éviter des parties proches de bébé.
En revanche, les femmes allaitantes doivent toujours éviter d’en employer, car les molécules des huiles sont faciles à absorber par l’organisme. De ce fait, elles sont présentes dans le sang, et par conséquent dans le lait maternel. Cela présente ainsi un danger pour la santé de bébé.
Les huiles essentielles ne sont pas dangereuses pour les adultes. Néanmoins, pour éviter les effets secondaires, il est toujours préférable de respecter la posologie, le dosage et les prescriptions indiquées. Si possible, l’avis d’un médecin est nécessaire.
Les huiles essentielles aphrodisiaques n’ont évidemment pas vocation à être utilisées par les bébés et les enfants.
Pour les autres huiles, se référer au cas par cas.
Les huiles essentielles aphrodisiaques ne présentent pas un danger pour l’adulte, cependant il faut veiller à respecter les indications prescrites.
Les huiles essentielles aphrodisiaques n’ont pas pour vocation d’être utilisées par un enfant (6-7 ans).
L’histoire des aphrodisiaques ne date pas d’aujourd’hui. En effet, ils sont utilisés depuis la nuit des temps pour stimuler le désir sexuel. Les hommes emploient principalement les plantes, les organes d’animaux et les herbes pour concocter des formules afin de produire des aphrodisiaques plus ou moins efficaces.
Cet usage remonte à - 60 000 ans : la première plante aux vertus aphrodisiaques est découverte dans une grotte, en Irak.
Quant au terme « aphrodisiaque », il trouve son origine en XVIIIe siècle. Il doit son nom à la déesse de l’amour dans la mythologie grecque (Aphrodite).
L’usage des aphrodisiaques est présent dans toutes les grandes civilisations humaines. Effectivement, ils sont largement employés par les hommes et les femmes de l’Antiquité pour faciliter l’érection et stimuler l’orgasme. Les Égyptiens et les Grecs les utilisent pour renforcer leur virilité et pour venir à bout de l’infertilité. D’après les légendes, les Dieux Antiques utilisent eux aussi des aphrodisiaques. De nombreux écrits (hiéroglyphes) relatent la concoction de potion pour venir à bout de la frigidité et de l’impuissance.
Les aphrodisiaques sont variés et nombreux. Chaque pays, peuple possèdent ses propres références. Pour vous donner un petit aperçu des plantes à qui l’on confère des vertus stimulantes il y a le coca, l’écorce de yohimbé, le ginseng, l’ylang-ylang. Les chercheurs, les herboristes et les phytothérapeutes travaillent encore pour démontrer leur efficacité. Les Maya, les Incas et les Aztèques (populations sud-américaines) utilisent à leur époque respective principalement le Coca. Ce n’est pas le cas des Asiatiques qui préfèrent l’emploi du ginseng. Ces derniers, notamment les Chinois, n’hésitent pas à mâchouiller tout au long de la journée les racines de cette plante pour stimuler leur envie sexuelle. Dans d’autres régions du monde comme en Occident, on préfère consommer des aliments dits aphrodisiaques, comme les huîtres (riche en zinc) et le chocolat. D’autres optent en revanche pour les épices et l’alcool.
En 1998, la pharmacopée moderne propose un soin aphrodisiaque assez efficace. Il s’agit du viagra qui est contient des substances stimulantes (Sildénafil, ce composant inhibe l’enzyme responsable de l’impuissance sexuelle chez l’homme). Rectification ! il s’agit avant tout d’un soin érectile (il stimule l’érection et non le désir sexuel). Le Cialis, le Spedra sont des médicaments qui connaissent également un franc succès aujourd’hui.
Mais, récemment, des études ont également confirmé le pouvoir aphrodisiaque de certaines plantes, ce qui a poussé les aromathérapeutes à proposer leurs huiles essentielles. Elles sont d’ailleurs nombreuses telles que l’huile essentielle de l’ylang-ylang complète, l’huile essentielle de gingembre ou encore de l’huile essentielle d’écorce de cannelle. La liste ne risque pas de s’arrêter là, car des chercheurs sont actuellement en train de poursuivre leurs travaux sur les propriétés aphrodisiaques des autres plantes.
En plus de notre psy, on se sent bien suivi en ce moment !
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